C’est sur l’aurore vaporeuse
De l’essence de son cœur
Que je murmurerai sans peur,
Laissant l’écrin de ses pétales
Délayer mes larmes
Sur le temple sacré de son âme,
Où l’aube s’éveille sans drame
Sur l’astre d’une rose,
Sous les perles blanches d’une prose
Dans les jardins de l’Eden,
Des douceurs fertiles
Aux mots subtils,
Charmant mes rêves égarés
Sur le voile sacré
Caressant les océans,
Redessinant la cime des cieux
Sur l’écume blanche de ses caresses,
Du battement de ses yeux,
Laissant son baisé
Idéaliser le mystère
De son doux secret,
Je serai le sable échoué,
Sur sa peau couchée
Bercent les mots oubliés
Sur les ailes d’une plume
Couchant les étoiles
Dans l’atrium d’une lune,
Recherchant la chaleur mouvante
Des quatrains délayant le temps
Murmurant aux grès des vents
Des mots aux couleurs de l’amour
Qui se poseront chaque jour
A la lumière du jour.
L.Deléglise
De l’essence de son cœur
Que je murmurerai sans peur,
Laissant l’écrin de ses pétales
Délayer mes larmes
Sur le temple sacré de son âme,
Où l’aube s’éveille sans drame
Sur l’astre d’une rose,
Sous les perles blanches d’une prose
Dans les jardins de l’Eden,
Des douceurs fertiles
Aux mots subtils,
Charmant mes rêves égarés
Sur le voile sacré
Caressant les océans,
Redessinant la cime des cieux
Sur l’écume blanche de ses caresses,
Du battement de ses yeux,
Laissant son baisé
Idéaliser le mystère
De son doux secret,
Je serai le sable échoué,
Sur sa peau couchée
Bercent les mots oubliés
Sur les ailes d’une plume
Couchant les étoiles
Dans l’atrium d’une lune,
Recherchant la chaleur mouvante
Des quatrains délayant le temps
Murmurant aux grès des vents
Des mots aux couleurs de l’amour
Qui se poseront chaque jour
A la lumière du jour.
L.Deléglise